Riddler is in the place !

« riddler »

• Nom & Prénom(s) : Riddler White
• Surnom(s) : Ben... Riddler. Sinon, lorsque sa face cachée (schizophrénie) prend les commandes, Riddler est remplacé par Ratatosk.
• Age : 16 ans
• Sexe : On le cherche encore
• Groupe : Mage légal (J'aimerais aller dans la guilde Angel's Soul)
• Personnage sur l'avatar Emil Castagnier de Tales of Symphonia 2
• Rang : Rang B maximum s'il vous plait dance

• Magie : Magie des ondes

• C'quoi ton prénom ? : Jean-Charles
• Et t'as quel âge dans l'histoire ? : 46 ans
• Comment tu le trouves mon forum ? : Aussi beau que l'cul d'un lamasticot
• Et mon code, ze veux mon codeuh. :

Physique

Comment suis-je physiquement ? « Magnifique » et « Admiré/admirable » ça vous suffit ? Quoi ?! Sept lignes minimum ?! Rho lala, vous êtes un peu exigeant quand même ! Bon, que suis-je d'autre que ça, moi ... ?

Allez, commençons par le commencement, ma tête ! Surmontée de cheveux d'un blond flash mi-long en épis, ma tête est ce qu'on qualifie souvent de « mignonne ». La peau très lisse -aucune ride n'est visible sur ma peau entière-, un petit nez à peine aquilin et de fines lèvres montrant souvent soit un petit sourire en coin soit un énorme sourire qui montre toutes mes dents blanches, soigneusement brossées, voilà ce qui la représente. Mes yeux sont un peu spéciaux. D'habitude, ils sont d'un vert suffisamment profond pour s'y plonger le regard pendant de longues heures, mais lors d'un combat ou duel où Riddler passe en mode *Je vais tout casser* (où il devient sérieux, en somme), ses pupilles deviennent rouge vif directement. La raison est simple, mais longue à expliquer. Vous n'avez qu'à lire mon histoire, bande de fainéants.

Ces mélanges de beauté masculine froide et mystérieuse, tout autant que peu courant, me donnent un assez bon succès chez les femmes, même parmi celles que je ne désire même pas courtiser !

Plus général, je fais 1.69 mètres pour à peine 60 kg. Grâce à mon caractère de surexcité, je fais beaucoup de mouvement et ai besoin d'en faire encore plus. La solution a donc été de faire du sport. La course, la musculation et surtout l'entraînement au combat, dont je raffole, font souvent partie de mes journées, pour passer mes nerfs -non pas que je sois énervé, mais pour ne pas exploser de rire et hurler de bonheur inexplicable en pleine réunion de guilde importante, par exemple. Si si, ça peut arriver !- Mais par le fait, tout cela m'a permis de développer mes muscles correctement. Cela a aussi fait partir de mon corps toute graisse possible. Ce qui fait que malgré le fait que je sois mince, des abdominaux ornent mon ventre et mes muscles autres sont tous aussi présents !

Je garde presque toujours le même style de vêtements. Je ne me sens pas du tout à l'aise dans un autre genre et je n'aime pas ne pas être à l'aise ! Un dessus bleu sans manche, des manches seules ne couvrant que mes mains, mes avant-bras et une partie du reste -laissant donc les épaules découvertes- un pantalon large noir parcouru de quelques lignes orangées et un grand nombre de ceintures oranges et noires par-ci par-là. Je porte aussi une longue écharpe noire.

Pour rester dans le matériel, je porte une gourde cachée dans mes vêtements (voir mon mental pour savoir à quoi elle sert) et, accrochés aux chevilles et aux poignets, un poids de 5 kg pour chacun des quatre membres. Cela me permet en partie aussi de me fatiguer, pour les mêmes raisons que plus haut. Par contre, lors d'un combat, je peux très bien retirer tous les poids. Et là, je deviens plutôt rapide...

Sinon, dernier élément bien que non négligeable, dans mon dos est attachée dont le fourreau porte les mêmes couleurs que mes habits (noir et orange). Cette épée est spéciale, son manche a la forme d'un G et le côté non tranchant de la lame est parsemé de pics métalliques, ce qui le rend plus dangereux que s'il était tranchant, finalement. C'est une longue lame fort légère et très utile pour découper, déchiqueter, trancher ou tout autre action du même type. En général, je ne la sors pas pendant les matchs amicaux, sauf si c'est pour une récompense, bien sûr !

Mental

Décrire ma façon de penser ? Cela pourrait être si simple, il suffit d'à peine quelques mots pour comprendre qui je suis ! Mais aller, comme je suis encore empli de motivation, je vais développer un peu ce caractère qui est le mien.

Hommes sérieux, femmes peureuses, vous pouvez commencer à pleurer. Je suis ce qu'on appelle un « Paratonnerre », ce qui veut dire que j'attire à moi toutes les malchances du monde. Soit c'est à cause d'une malchance indiscutable, soit c'est le résultat d'un caractère trop éveillé. Bien sûr, imaginez bien ! Un jeune garçon blondinet de 16 ans n'aime pas souvent rester assis à manger dans un restaurant chic ! Moi, je préfère danser sur les tables des bars ! Bon, ça m'a valu plus d'une fois l'expulsion... Vous voyez ! De la malchance, une fois de plus ! Enfin presque...

Et évidemment, comme tout beau garçon de mon âge qui se respecte, il y a un sujet que j'aime particulièrement aborder. La galanterie et la séduction sont effectivement des passes-temps auxquels j'adore m'adonner à de nombreuses reprises ! Ah oui, sentir le soupir d'envie et/ou de soulagement d'une gente demoiselle, quel bonheur ! Heu... Sujet suivant !

En plus de cela, je suis excessivement imprévisible. Lunatique, voire même bipolaire, il est rarement aisé de deviner ce que je vais faire. Ce qui veut dire qu’en l’espace d’à peine quelques secondes, je peux aussi passer d’une euphorie sans limite à une haine dévastatrice et cela sans forcément une raison particulière. Et pour répondre à ce que vous êtes en train de vous demander, non, ne vous inquiétez pas, c'est assez rare.

Bon, aimant assez bien (comme vous l'avez constaté) courtiser les demoiselles, je me dois d'avoir une allure impeccable constamment. Je déteste être négligé ou sale ! Mon image est pour moi la chose la plus importante de toutes. Je dois constamment être parfaitement soigné, droit et fier. Personne ne me verra jamais me mettre à genoux ou me verra ne serait-ce que m‘excuser –sauf si l’excuse fait partie d’une technique de drague, bien évidemment, car au final, mon instinct de courtise l’emporte sur ma fierté-. J’essaie de rester gracieux dans mes mouvements, de rester souple et beau à regarder. J’aime que les regards soient tournés sur moi. Oui, je suis un grand narcissique !

Ensuite, il faut savoir que j'ai un petit souci sentimental. Non pas comme beaucoup qui pleurent encore vengeance pour une quelconque raison -ces personnes là ayant tendance à m'énerver très rapidement-, juste que je m'ennuie très vite. Une activité que je trouve très intéressante peut m'ennuyer dix minutes plus tard. L’unique chose qui réveille en moi cette adrénaline montante est de jouer encore à se battre (ou à se battre réellement !) ou encore... Boire ! Non pas manger comme beaucoup d'adolescents de mon âge, non pas boire dans le sens de picoler -je ne supporte d'ailleurs pas très bien l'alcool- mais boire de l'eau ou des boissons sucrées et gazeuses. Je me balade constamment avec une gourde cachée remplie d'une boisson délicieusement gazeuse ! Et quand je vais au restaurant, certains commandent énormément de plats... Moi, je prends une quantité incroyable de boissons ! Pourquoi ce goût prononcé pour la boisson non-alcoolisée ? Aucune idée, c'est juste délicieux. Ah et quand je bois un coup, bien sûr, une montée d'adrénaline coule en moi pendant quelques minutes... Et là, soit je fais juste peur à être trop excité et à dire n'importe quoi, soit je défie tout le monde en duel, même ceux que je ne connais pas !

Comme vous l'avez remarqué, je suis le genre de garçon, donc, qui attire tous les ennuis à lui à cause de ses bêtises, qui ne tient pas en place et qui adore se faire remarquer. Très souvent de bonne humeur, rarement fâché à l'habitude. Il n'y que lors des combats sérieux où je ne rigole plus et où je deviens vraiment le mage dangereux que l'on redoute ! Et il faut faire attention, car cette partie sérieuse de moi sort dès que je me sens en danger imminent. Cette partie s'appelle Ratatosk. Pour les détails, allez vous amuser à lire mon histoire mais en résumé, c'est le nom de mon deuxième moi, dû à une schizophrénie magique implantée dans mon corps grâce à une magie perdue. Ratatosk contient en lui tous les sentiments négatifs qu'il m'a prit, comme la colère, la haine, le sadisme, ... Donc lorsqu'il sort, souvent lorsque je le demande et rarement de lui-même, il y a un grand danger pour TOUS CEUX qui sont dans les parages, même mes meilleurs amis. On voit que Ratatosk prend les commandes avec la couleurs de mes yeux ; s'ils sont verts c'est mon état naturels et dès que Ratatosk fait son apparition, ils virent au rouge.

Histoire

Chapitre I

Le jour de ma naissance commença ma vie en trombe dans ce monde magique. Non seulement ma naissance était prématurée d’un mois entier, mais l’accouchement fût d’une atroce difficulté pour tous. C'est de justesse que les docteurs m'ont sorti de cette pochette inconfortable dans laquelle j'étais apparemment blotti depuis trop longtemps. Comme si je n’avais pas suffisamment donné de frayeur en cette journée, je ne respirais pas en sortant du placenta mammaire. Je n'ai pris mon premier souffle qu'à environ 20 secondes à peine de la mort. Pourquoi donc ? Simplement car à chaque fois que l’un des docteurs appuyait sur mon ventre pour faire battre mes petits poumons, il se retrouvait projeté à l’autre bout de la pièce. Ils ont dû y aller à quatre en même temps, se tenant l’un à l’autre, pour ne pas s’envoler. De plus, l’aide-soignante s’était évanouie dès les premières apparitions de malheurs. Une nouvelle, sans aucun doute.

L’histoire de ma naissance interrogea beaucoup le personnel de l’hôpital. Serait-ce une puissante magie apparaissant déjà aux premières minutes de la vie ? Difficile à croire, tout de même ! Un aussi jeune bébé qui serait capable de tant de force, même contre des civils en blouse blanche, serait fort dangereux plus tard, après la période d’adolescence !
De mon côté, je passais une maternité quelque peu dérangeante pour les infirmières, dont au final l’une démissionna et une seconde entra en dépression. Sur quatre patte ou en roulant, peu m’importait, je voulais m’aventurer déjà à cet âge natif hors des barrières de mon lit que l’on me mettait. Le souci était que doué que je pouvais être déjà à quelques jours de vie, on me retrouvait souvent dans des services d’autres étages (mes moyens de transports furent un mystère jamais dévoilé qui fit devenir fous un bon nombre de docteurs) enlacé dans les fils médicaux de vieux malades. Combien de fois n’ai-je pas manqué de peu de tuer des patients en leur arrachant des câbles ! Mais le mieux était que lorsque les infirmières, à bout de nerfs, me retrouvaient enfin et me ramenaient dans ma chambre derrière les barreaux de mon lit, j’agissais réellement comme un petit démon à exorciser. Ma magie refaisait alors souvent surface et menait la vie dure à ces pauvres femmes.

Chapitre II

En grandissant, mes envies d’aventure et de risque ne se perdirent pas, au contraire même. Mais à cela s’ajouta une calamité désastreuse. J’étais un véritable boulet, non capable d’entreprendre quoique ce soit sans faire de conneries ! Je fuguais souvent de chez moi, piquant des oranges ou d’autres fruits lors des grands jours (ou plutôt les rares fois où je ne me faisais pas rattraper par le marchand méfiant à cause d’un trébuchement suivi d’une lamentable tombée sur le pavé de la ville) pour visiter les quelques endroits que je n’avais pas encore vus. A chaque aventure, j’allais plus loin de la fois précédente allant jusqu’au fond des montagnes, où je dû m’arrêter à cause des monstres. D’ailleurs, lorsque j’en vis un qui m’attaqua pour la première fois, le spectacle aurait pu être amusant à voir. J’essayais stupidement d’éviter les coups de crocs et de griffes, l’issue de ce qui ressemblait plus à une extermination qu’à un combat était évidente lorsque soudain je me suis relevé et ai envoyé la créature valser loin de moi, par une force qui me fus inconnue.

J’étais en ces temps à peine âgé de quatre à cinq ans. Les autres enfants me repoussaient, me trouvant bizarre et dangereux (la dernière fois que l’un m’avait ennuyé, je l’avais
malencontreusement et mystérieusement envoyé sur le mur d’où il retomba sur les fesses, hébété. Ainsi, je restais seul à visiter et à vivre comme je le souhaitais, brossant l’école et ça m’allait très bien au final, c’est exactement ce que je désirais ! Autre chose que j’ai commencé à désirer fut la boisson gazeuse. Pour une raison qui m’est encore et toujours inconnue, j’adorais –et j’adore toujours maintenant- ces boissons pétillantes et trop sucrées. Je faisais de temps à autre des petits services aux villageois, comme tondre la pelouse ou nettoyer la maison. Récoltant quelques jewels rudement gagnés, je les dépensais immédiatement en de magnifiques récoltes liquides gazeuses.

J’avais en ces si beaux temps une vie de rêves et de merveilles. Chaque jour était un bonheur, même si ma malchance aimait souvent me pourchasser de ses crocs vicieux. Malheureusement, un jour, cette-dernière me frappa trop fort de son damoclès insatiable. Mes pauvres parents insouciants, pleurant mon caractère, s’en sont remis aux premières personnes se présentant comme des « docteurs capables de m’aider dans ma mauvaise passe ».

Chapitre III

Cette nouvelle boulversa l’enfant que j’étais. Mes parents m’ont convoqué dans la cuisine pour m’expliquer qu’ils m’envoyaient dans un pensionnat spécialisé qui pourra m’aider à me remettre dans le droit chemin. Les hommes du pensionnat vinrent rapidement me chercher et me mirent à l’arrière d’une camionnette noire qui me semblait être le véhicule menant aux enfers. Je n’ai pas voulu saluer mes parents, dégoûté du sort qu’ils m’avaient réservé sans même s’occuper de mon avis personnel.
Dès l’arrivée audit « pensionnat », je compris qu’il n’en était pas un, loin de là au contraire. On m’enchaîna les pieds et les mains, pour enfin me trainer jusqu’à une cellule froide à peine meublée d’un lit superposé et d’une minuscule fenêtre placée trop haute sur le mur pour voir à travers. Les larmes aux yeux, tout était flou pour moi et ce fût une voix provenant du lit du dessus qui m’alerta d’une présence. C’était la voix d’un enfant… La voix d’une jeune fille.
« Salut. Alors toi aussi, ils t’en veulent ? »
« Ils ? Qui ça « ils » ? Qu’est-ce qu’ils veulent ?! OU SUIS-JE ?! »
« Calme toi, arrête de pleurer. Tu es dans ce qui s’appelle une ferme humaine clandestine, qui utilise des enfants dont une certaine magie fait déjà l’apparition pour s’en approprier et créer la magie ultime. »
« Je ne comprends rien à ce que tu racontes… »
La petite fille attendit que je me calme et reprenne mes esprits pour continuer. Après un long somme, elle fut emmenée pendant deux heures et lorsqu’elle revint elle n’arrivait plus à parler. Ce ne fut que lorsqu’elle se réveilla à son tour de son somme et qu’elle recouvrit la voix qu’elle m’expliqua la situation. Nous étions dans un établissement illégal traitant les jeunes enfants spécialement mages pour leur extirper leur magie encore peu développée qui apparemment était plus puissante et plus facilement extirpable que celle maîtrisée d’un adulte. Nous recevions un repas léger par jour, suffisamment pour nous faire survivre mais pas assez pour nous donner la force de résister à la perte de notre magie. De temps en temps, un gardien entrait dans notre cage pendant la nuit, réveillait l’un des deux enfants pour l’emmener. Millia, la jeune fille qui survivait dans la même cellule que moi n’a jamais voulu me dire ce qu’ils faisaient d’elle lorsqu’ils la faisaient sortir, jusqu’à ce qu’ils me prennent moi-même.

La première fois où l’on me fit sortir de ma cellule fût une semaine pile après mon arrivée. Des soldats armés de lames et de fusils m’emmenèrent jusqu’à une grande pièce grise, sans fenêtre ni meubles où l’on m’enchaîna à une grande plaque métallique. On me connecta ensuite à une étrange machine autant qu’énorme grâce à des câbles froids comme la glace. Quelques hommes masqués et habillés de longues blouses blanches réglèrent la machine, un grand bruit de boutons suffisamment sonores pour me briser les tympans montait dans la pièce pendant quelques instants pour finir enfin par se taire. La sensation que procure l’absorption de la magie d’un corps me rendit presque fou sur le moment. La douleur qui m’envahissait était insoutenable et encore moins pour un enfant. Des cris de douleur me firent arrachés, je ne pouvais les retenir en moi.
La machine s’arrêta très rapidement. En général, lorsqu’ils font sortir Millia de la cellule, elle ne revient que deux heures plus tard au minimum alors qu’il ne me semblait avoir passé que dix minutes en dehors de ces quatre murs connus de mon esprit. Mais mon orientation était à faible mesure et je n’étais en ce moment même pas capable de compter jusqu’à dix, donc le temps n’était plus quelque chose d’habituel et de facilement comptable pour moi.

Lorsqu’ils me renvoyèrent à la cellule (en me trainant, n’étant même plus capable d’avancer), les soldats me confièrent à Millia, qui m’allongea sur le lit. Lorsque je me réveillai, je vis un verre d’eau à côté de moi. Elle me l’avait gardé, même si elle était tout aussi en manque que moi…
« Pourquoi t’ont-ils ramené aussi vite ? »
J’avais donc eu raison, je ne suis pas resté aussi longtemps que prévu et apparemment, ce n’était pas chose normale pour une première fois ou autre.
« Pourquoi ne m’as-tu pas dit qu’ils nous torturaient ?! »
« Parce que nous ne sommes pas censés ressentir de douleur, Riddler… Tu as eu mal ? Que s’est-il passé ?! »

Je fus alors (relativement) tranquille deux semaines entières. Je me sentais aussi inquiet que Millia à mon propos. Pourquoi n’étais-je pas demandé ? Pourquoi ai-je eu mal ? Peut-être n’ont-ils plus besoin de moi, pour une raison inconnue et s’apprêtent à se débarrasser de moi ?!

Enfin, après une attente si difficile, des soldats armés de la même manière m’emmenèrent cette fois dans une autre pièce, plus petite où il n’y avait qu’une table et un grand nombre de machines et d’ustensiles d’une taille relativement petite chacun. Les soldats se posèrent comme des statues à l’orée du mur circulaire et laissèrent place à trois hommes en longues blouse blanche. L’un d’eux, celui qui portait des lunettes transparentes bleues en plastique me parla alors :
« Comme le souci de l’enfant réduit l’efficacité de la magie et sa facilité d’extraction, je vais un peu t’expliquer ce qui ce passe. Tu as dû remarquer que tout ne s’est pas vraiment déroulé comme prévu avec toi. Disons que tes compétences magiques empêchent notre machine basique de pénétrer en toi et l’a repoussé violemment il y a deux semaines, d’où tes souffrances desquelles nous nous excusons, nous ne voulons pas faire souffrir nos patients en temps normal ! Mais là nous avons repris un ancien plan usant d’une magie perdue pour te rendre plus vulnérable. Nous allons créer un second toi-même, qui vivra en toi et restera endormi en toi pour qu’il prenne dans son caractère tout ce qu’il y a de cruel, de méchant ou de négatif en toi. Tous ces sentiments sont des barrières qui aident ta magie à repousser notre travail. »

Sans me laisser placer un mot, il claqua des doigts. D’autres hommes sortirent de nulle part, m’enchaînèrent à la table et repartirent aussi vite qu’ils étaient arrivés. Les hommes en blouse blanche m’injectèrent une seringue qui me fit sentir tout drôle… Rapidement, ma vue se brouilla et devint noire. Je ne sentais alors plus mon corps, je ne faisais qu’entendre ce qu’il se passait autour de moi.
« Commençons, voulez-vous »
Silence.
« Voilà, ce n’était pas si compliqué comme l’avait dit le boss ! Aucun danger non plus, le plan 082 Ratatosk est profondément implanté dans le sujet 634 Riddler White… Attendez ! Qu’est-ce que c’est que ça ? Pourquoi y a-t-il un… ARGH ! »

Je repris alors la vue. J’étais debout, tandis que tous les autres, soldats et hommes en longue blouse blanche étaient inertes au sol. Je ne contrôlais aucun de mes mouvements. Contre mon gré, je me suis dirigé vers la sortie de la salle et tandis que je traversais le couloir dans lequel on m’avait traîné comme un chien deux semaines plus tôt, une puissante alarme retentit suivit d’un « ALERTE, INTRUS, ALERTE, INTRUS, … ». Sans savoir où j’allais, j’avançais non par moi-même vers une destination qui m’était inconnue. Lorsque je suis passé devant ma cellule, j’entendis Millia me supplier de la prendre avec moi. Je pleurais au fond de moi-même. Mon corps ne réagissant pas à mes demandes, il ne s’arrêta même pas, et refusa de laisser couler mes larmes. Dès que je croisais un soldat, il tentait de me trancher en deux avec sa lame, mais j’usais de la magie qui apparaissait autrefois inhabituellement comme d’une arme. Je compris quelques minutes plus tard seulement, en entendant des bribes d’indices donnés par ceux qui s’apprêtaient à mourir sous mes puissants coups. Ratatosk avait prit le dessus et usait lui-même de mon corps et cherchait la sortie…
« Ratatosk… Je ne sais pas si tu m’entends… Mais tu es complètement fou de laisser Millia où elle est ! Reprends-la ! »
« Je t’entends, jeune humain. Sache que cet instant, je l’ai attendu des décennies durant, le jour où envie j’aurai un corps enviable et où tous les mages les plus puissants de l’organisation seraient absents du bâtiment. Ici ne restent que les scientifiques et les soldats incapables de se battre correctement, mais si l’on s’attarde à chercher tes camarades, les plus grands chasseurs arriveront et aussi bon duo que nous pourrons faire, nous n’aurons plus aucune chance de ressortir vivant de cet enfer ! »
« Où vas-tu ?! »
Je ne reçu comme réponse que les images. Ratatosk ouvrit une porte qui mena à une salle remplie d’armes plus incroyables les unes que les autres. Etant resté autant de temps ici, il était finalement normal que Ratatosk connaisse aussi bien le bâtiment et les tours de garde. Il prit alors en vue un mur rempli d’épée incroyablement belles et impressionnantes.
« Laquelle prenons-nous ? » dit-il.
« Heu… L’orange avec un manche me semble être la plus belle... »
« Tu as de bons goûts, jeune humain, c’est celle de la meilleure qualité et la plus tranchante ! »
Il prit donc la longue épée orange du milieu par son manche et l’accrocha à ma hanche.
Tranchant plus facilement les gênes, il nous fit sortir rapidement du bâtiment étrangement désert. Mais déjà des points lumineux se faisaient voir au loin, les renforts arrivaient. Ratatosk avait raison, si l’on avait trainé à libérer Millia, nous n’aurions désormais plus le temps de partir sans être pourchassés et rattrapés.

Chapitre IV

Ainsi, Ratatosk me fit sortir de cet enfer d’illégalité. Je remarquai que depuis son arrivée en moi, aussi silencieux pouvait-il être lorsqu’il ne prenait pas le dessus, je pouvais relativement mieux utiliser ma magie. Je ne suis jamais retourné là où je suis né. Mes parents me croient toujours emprisonné dans un pensionnat tandis que je m’installe à Harujion, où je rejoins la guilde d’Angel’s Soul le jour de mon anniversaire de mes dix ans. Depuis, ma vie s’est remise à une tendance normale. Mes conneries se sont vues multipliées, ma maîtrise de la magie se peaufine et s’explique enfin ; si je pouvais expulser les gens loin de moi, c’est dû à mes mouvements et à ma magie des ondes si belle soit-elle. Je me fais connaître comme un adolescent turbulent qui en fait toujours trop, et j’adore cette vie que je reprends enfin.

Voilà, je préviens que j'ai ENFIN terminé ma présentation (ainsi que ma fiche technique) !

Fêtons cela ensemble ! alcolo

Personnellement je peux décemment pas valider. j'ai lu juste le 1° chapitre de ton histoire et c'est déjà du grand n'imp'! un gamin qui à peine né déploie un tel pouvoir magique qu'il fait voler es médecins à l'autre bous de la pièce.... Et puis genre un bébé, né prématurément qui à moins d'une semaine vadrouille dans l'hôpital... C'est juste n'imp'! Vu ce que t'as fais avec juste la 1° partie de ton histoire, je préfère même pas imaginer la suite.

Puis après perso je suis pas fan de l'utilisation de la narration à la première personne... Surtout pour les descriptions physiques et mentales.

Et puis tu fais pas mal de contre-emplois de termes aussi genre: "placenta mammaire" je pense que tu voulais dire maternel par ce que mammaire c'est les seins. Et de ce que je sais, le placenta c'est pas dans les nibars.
ou "je passais une maternité" la maternité, dit dans cette phrase rapporte au fait d'être mère plus qu'au lieu où naissent les bébé.

Bref, moi je valide pas.

Salut Riddler, ça avance els modifications de ta fiche? Par ce que si t'attends juste une avis des autres membres de la team pour venir te dire que j'ai tors, détrompe toi ils sont d'accord avec moi donc y a des modifications à faire quoi.

Si t'as une question hésite pas.